Sur Jung et le Yi-King veut révéler l’évidence d’une rencontre par l’intuition entre le psychologue analytique Cari Gustav Jung et le monument de sagesse chinoise qu’est le Yi-King, le Livre des Changements.
Fin des années 1910, après sa rupture avec Freud, Jung sent son esprit captif de la rationalité occidentale. La richesse de l’antique Yi-King, traduit dans le langage symbolique de Richard Wilhelm, répond ù ses aspirations les plus fondamentales. L’entente. l’intelligence est immédiate. L’ami vient de loin mais lui aussi dessine les images signifiantes et libres. Il les nomme “hexagrammes” et bientôt Jung les appellera “archétypes”. Qu’importe de les enfermer dans le langage et la théorie. Pour l’intuition, le non – langage, dies sont identiques, jumelles en correspondance, expressions d’une compréhension du monde et non de sa saisie en un code.
Fin des années 1910, Jung découvre que la consultation de l’oracle Yi-King révèle ce qu’il nomme une “synchronicité” entre le présent du lecteur et le texte immutable. Trente ans plus tard, le psychologue ose dévoiler celle découverte érigée en principe dans sa préface à la traduction anglaise du Livre des changements,
La synchronicité est un rendez-vous, elle implique. Elle n’est ni n’existe, mais vit.
Car rien jamais ne s’arrête pour la contemplation du sage ou le raisonnement du philosophie, Si le Yi-King, en est une manifestation, l’intuition, pour Jung, demeure son unique mode d’accès. Sans démonstration possible, par la force des choses et la vitalité des changements.
Il testo è reperibile nelle librerie internazionali. Archè Edizioni, – 2010 Lingua: FRANCESE, Pgg. 152 – Euro 20,00